Suivez le guide
Fabien
Fabien, Befa, Ramuntxo, « Le Basque »… appelez-moi à votre guise !
« Le Basque », ça me plaît bien, ou plutôt le Basque « héréditaire », comme j’aime à le dire : 25% de sang, 100% de cœur. Une dose de fierté, et autant de chauvinisme !
Le Pays Basque, celui de ma regrettée grand-mère, fille de paysans saint-palaisiens, ne m’a pas vu naître, moi qui suis le fruit d’un exode rural dont nos campagnes ont lourdement payé le tribu après-guerre.
Mais il m’a vu y grandir, et m’imprégner tel un tatouage indélébile, de sa culture, de son identité, de ses valeurs.
C’est sur le tard, peut-être à la recherche de mes racines, de mon histoire personnelle, que je me suis intéressé à l’Histoire de ce Pays et des femmes et des hommes qui le composent.
C’est cet amour de sa culture ancestrale que je m’évertue depuis plusieurs années de transmettre avec passion, en tant que guide-accompagnateur. Ou plutôt devrais-je dire en qualité d’intervenant culturel, soucieux de faire découvrir différemment ce territoire et ses richesses culturelles.
Je me plais à dire que ce pays, à cheval sur deux états, lieu de passage naturel des Pyrénées, entre le Nord de l’Europe et l’Afrique, se situe au centre de tout : « ERDIAN ». Il est pourtant si méconnu que j’ai décidé de faire de sa découverte au plus grand nombre mon cheval de bataille.
De formation horticole, je ne suis ni historien, ni linguiste, ni anthropologue. Amateurs de cours magistraux et érudits, passez donc votre chemin.
Je vous propose des visites animées, que je souhaite empruntes d’échange et d’humour, de curiosité et respect pour la culture basque, sa langue ancienne, dont les origines demeurent encore incertaines, ses symboles, ses lieux.
Vous offrir au fil d’une balade des clés de compréhension de cette culture, en espérant vous transmettre l’envie, tout comme moi, d’ouvrir de nouvelles portes et une nouvelle perspective de ce pays si énigmatique qu’est le Pays des Basques. Telle est mon ambition.
À ma grand-mère, qui m’a donné quelques gènes de ce peuple,
À mon grand-père, pour avoir eu l’idée géniale d’épouser ma grand-mère
À mes parents sans qui je n’aurais pas eu la chance de grandir sur ce territoire,
(et à mon cousin de Saint-Palais, le mec le plus fabuleux d’Amikuze)